vendredi 11 mai 2007

Pascal Dazin, soldat de la paix familiale


Pascal Dazin, soldat de la paix familiale, « résistant rescapé » de la justice familiale.

Comme un couple sur trois, Pascal Dazin, médecin du travail, a vécu une séparation. Une histoire banale qui est devenue un enfer. Pascal Dazin estime que l'appareil judiciaire pousse les familles au conflit. Il a fait de cette rupture douloureuse un combat pour la paix familiale.

«La guerre des parents est l'une des plus sales guerres modernes. On s'en sort toujours de la même façon : mal. » L'homme a le sens de la formule. Le père ressasse des tonnes d'amertume. Le médecin a tout tenté pour faire taire sa souffrance. Incurable.

Pascal Dazin ne se remettra jamais de son divorce. Mais, lentement, depuis seize ans, il a recollé les morceaux de sa vie en miettes. Avec l'aide de son fils. De quelques proches. D'autres parents surtout, qui ont vu, eux aussi, leur vie s'effondrer comme château de cartes, perdu famille et travail, habité la rue, erré des jours durant, l'ombre de la mort pour seule compagne. Tous n'ont pas survécu, aucun n'en sort indemne.

Son cas est pourtant bien ordinaire : les statistiques nous disent que deux couples sur trois ont connu ou connaissent la séparation. Le fils de carreleur du Nord, enfant du mérite républicain devenu médecin du travail dans l'Ouest par la force du travail et le talent personnel, ne s'y était évidemment pas préparé. La séparation a été douloureuse, mais il a la conviction qu'elle aurait pu se passer à moindres maux pour sa femme, pour lui-même et pour leur fils unique, si la justice ne s'en était pas mêlée. « Alors que j'étais en discussion avec ma concubine, j'ai reçu une lettre d'avocat me disant que j'étais un être nuisible et que j'allais passer au tribunal. » Et là, tout a basculé. « Nous avions besoin de soutien, on nous a conduits au procès. »

Pascal Dazin n'a pas de revanche à prendre. Il ne souhaite pas nous faire pénétrer plus avant dans l'intimité de son ex-couple, pour ne pas nuire aux personnes en cause. Il a pleinement conscience de la banalité de son histoire mais il y revient, sans relâche, parce qu'il en veut à la société d'avoir mis en place « une organisation méticuleuse de la décomposition familiale », système « qui pousse les familles en rupture au conflit au lieu de les aider à trouver un chemin d'apaisement ».

Les mots sont très durs ; ils ont tous été choisis dans le dictionnaire des tragédies humaines. En s'interrogeant sur ce qui arrivait à son foyer, en bataillant pour faire valoir ses droits de père, Pascal Dazin s'est découvert des milliers de compagnons d'infortune. Il a alors fondé une association, puis une autre, non pas pour influer sur la justice en faveur de sa personne mais par espoir de changer le cours des choses : cet idéaliste rêve d'une république sociale et fraternelle. « Le traitement judiciaire est destructeur de liens familiaux. Un parent n'est pas un délinquant, un enfant n'est pas un usufruit. Des missions fondamentales de la protection sociale ont été déléguées à la justice. Le résultat c'est que nous sacrifions l'éducation et les besoins affectifs de centaines de milliers d'enfants sur l'autel de l'individualisme d'un de leurs parents, ou des deux. »

Le message est rude. Il met en cause des choix de société défiant les alternances politiques, l'institution judiciaire « mi-crainte, mi-sublimée », les pratiques de professionnels du droit, le choix quasi systématique d'un parent contre l'autre. Et ce message ne passe pas. Père en colère, « résistant rescapé » comme il se définit, Pascal Dazin a été condamné pour injures à magistrats. Pour faire entendre son message, il a, dans son village de Plaintel dans les Côtes-d'Armor, tenu des « Assises pour la famille », dont il a tiré un « exposé-manifeste ». Il s'est même présenté aux élections. En vain. Alors il a pris la plume. Pour écrire des articles, un premier livre, publié en 2001, puis un deuxième à paraître cette année (1).

Le découragement le saisit parfois. « J'ai bien conscience que mon combat n'est pas intéressant puisque je n'ai pas abouti à ce jour à faire évoluer la politique familiale. » Il sait que dans un monde où tant de femmes seules avec enfants, abandonnées, combattent quotidiennement pour garder leur tribu à flot, l'image du père passé au laminoir judiciaire n'imprime pas. Mais ce soldat de la paix familiale n'est pas prêt de désarmer. Il hante les ministères, les permanences des parlementaires et les maisons d'édition. Pour modifier les lois et faire triompher la proposition de la médiation sur le conflit judiciaire, convaincu que la société se porterait mieux si elle se faisait une priorité de prévenir et d'adoucir les ruptures parentales.

Texte : Didier PILLET.

Photo : Philippe RENAULT.

(1) Les séparations parentales, l'impasse judiciaire, propositions sociales et juridiques, Liv'Editions, 2001. À paraître : Justice familiale, de l'impasse à l'imposture.

ASSISES DE PLAINTEL POUR LA FAMILLE

12 juillet 2005 par Pascal Dazin, président

Comme convenu, le 12 juillet, plusieurs associations, mouvements, individualités et représentants de groupes divers, sont venus débattre au siège de notre association, sur le thème : « quelle politique familiale pour demain ? »

Nous remercions tout spécialement pour leurs diverses contributions PEM de Montpellier (Parents-Enfants-Médiation), APRES (Alternance Parentale Egalitaire après Séparation), le collectif REPARE (Résistance des Parents Responsables), JUSTICE-PAPA de Paris, et les personnalités individuelles remarquables ayant enrichi nos travaux.

De l’avis commun à l’ensemble de ces personnalités, nous retenons quelques idées-forces : la politique familiale en cas de problèmes conjugaux n’est absolument pas soutenue en France, et les difficultés familiales sont surexploitées par le lobby judiciaire plutôt que d’être soulagées par le secteur social avant tout, puis judiciaire si nécessaire, ce lobby ayant une posture délibérément colonisatrice, mercantile et agressive.

Aucune étude rationnelle et neutre n’est effectuée quant aux conséquences selon nous désastreuses du traitement judiciaire imposé et autoritaire des séparations parentales.

La paupérisation des familles, le fracas des liens humains les plus fondamentaux, constituent la première source de gains pour les auxiliaires de justice libéraux ainsi que le premier facteur d’engorgement de la justice telle qu’elle (dys)fonctionne à ce jour, mais ces aberrations représentent a contrario (avec la sur pollution et la dévalorisation du travail) le péril le plus évident pour la génération montante.

Le document annexé, à l’usage de ces personnalités, du monde politique et de la presse, reprend les propositions de notre association afin de prévenir et soigner ce fléau et ces violences institutionnalisées.(ces propositions n’engagent pas les autres participants aux assises du 12 juillet)

Ces propositions sont formulées dans un contexte de chaos institutionnel en matière d’aide aux familles : depuis quinze ans, au mépris de la constitution française, le lobby judiciaire a capté une problématique qui ne lui appartenait absolument pas, jugeant et discriminant d’emblée des parents selon leur appartenance sexuelle, favorisant et exacerbant les conflits, voire même les créant artificiellement, normalisant un paysage post-familial dit « recomposé » au mépris des volontés de responsabilisation des parents et de l’histoire réelle des enfants.

Pour tous détails, bien vouloir nous contacter et/ou se reporter à mon livre « les séparations parentales : l’impasse judiciaire ». Depuis sa rédaction, j’ai souvent eu l’occasion de déclarer que ce scandale moral, éducatif et institutionnel par captation et dévoiement ne constitue plus seulement une impasse, mais bien une réelle imposture, aussi perverse que les dérives politiques que l’Europe a jadis connu et trop souvent cautionné.

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« Ma dernière décision a entraîné un meurtre et un assassinat, et pourtant cette fois-là les avocats n’étaient pas spécialement virulents. Je n’ai absolument aucun état d’âme. De votre vivant, rien ne changera. Vous pouvez toujours aller voir le ministre de la famille : c’est nous qui décidons »

Propos tenus le au ministère de la justice, place Vendôme, par Madame Teller, chef du service des affaires civiles et du sceau, devant trois groupes de parents, dont l’association que je préside.

La radio publique actuelle vient de délivrer un message selon lequel l’indice de fécondité française supérieure à la moyenne européenne (de un demi point) tiendrait à la politique en faveur des familles recomposées. Nous affirmons que soutenir les familles naturelles améliorerait nettement cet indice et donnerait de plus toutes leurs chances sociales aux enfants issus de cet équilibre parental préservé.

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En France -comme d’ailleurs un peu partout en Europe et plus largement dans le monde occidental- et en cas de rupture conjugale, la liberté d’exercer sa vie familiale n’est pas facilitée comme il se devrait en République par un Etat neutre et bienveillant.

Notre expérience associative, riche de milliers d’observations, nous permet même d’affirmer que la prise en charge judiciaire (par abus de pouvoir) de ce problème social attise les conflits, enkyste les rancoeurs, et représente même intrinsèquement une des causes majeures de la multiplication de ces ruptures primitives, dans les foyers naturels, puis secondaires dans les foyers dits « recomposés » (où l’incidence des séparations est probablement encore plus marquée).

Cette prise en charge est illégale : l’Etat doit aider les parents en difficulté, et non pas les juger d’emblée par cette forme de justice réellement très spéciale que l’on appelle « justice aux affaires familiales » depuis que l’on a cessé de l’appeler « justice aux affaires matrimoniales ». De plus, si un jugement doit survenir, il est également illégal de discriminer les parents sur des critères de comportements, ou d’appartenance sexuelle, ce qui est typiquement le cas survenant dans ces chambres très spéciales des tribunaux français et plus largement européens.

Pour aider les parents en difficulté, il faut qu’ils soient protégés de toute incitation au conflit, qu’ils perçoivent avec générosité et neutralité bienveillante les mêmes aides diverses institutionnelles (allocations parentales, de logements, soutiens d’entreprises équitables par reconnaissance de leur statut de parents dès qu’ils en font la demande, etc).

Il faut également que l’Etat mette à leur disposition des lieux publics institutionnels où l’intérêt porté à la vie familiale ne puisse plus être pollué par le chiffre d’affaires d’auxiliaires de justice, naturellement friands de conflits judiciarisés. Il est urgent de créer un service public d’aide à la parentalité, que nous appelons « Service de Médiation et de Soutien aux Parents (SMSP) » recrutant des professionnels neutres et compétents (médiateurs, personnels sociaux, etc), aptes et formés à écouter, conseiller et informer les parents sur leurs prérogatives.

Dans le contexte d’acharnement judiciaire actuel sur la vie de famille, cette novation n’aurait que peu de portée, ou plus exactement serait source de conflits d’éthique chez les parents, si elle ne s’accompagnait pas de mesures législatives interdisant, sauf exception (délits, notamment d’enlèvement monoparental, autres formes de danger réel) aux magistrats dits « de la famille » de se reconnaître compétents tant que les parents n’ont pas rencontré ce service public.

Actuellement, on reconnaît souvent aux enfants, du moins dans le fonctionnement actuel de la « justice familiale » et sans que rien ne change au niveau de la neutralité bienveillante au profit des parents, le droit de s’exprimer au sujet de leurs propres souhaits d’organisation de vie familiale et ce vers l’âge de treize ans. Avant cet âge, c’est le service de médiation qui devrait recueillir et analyser leur avis. Après cet âge, mais seulement après, le juge dit « de la famille » pourrait à l’avenir légalement le faire

Toute famille en menace d’éclatement devrait obligatoirement être aidée par ce service tant que l’enfant -ou le dernier enfant de la fratrie- n’a pas atteint cet âge. Si la rupture parentale survient malgré cette aide dont les modalités sont faciles à formaliser, les parents devront rencontrer un juge de la famille, mais sauront d’emblée que nulle discrimination basée sur les aides publiques ne leur sera administrée : égalité de droits sociaux, de dégrèvements fiscaux, d’aides diverses, et sauf refus monoparental motivé qui ne changera pas ce traitement social équitable, principe de base de résidence alternée des enfants, modulable à l’amiable entre parents ou par l’entremise du service public dé judiciarisé.

En cas de rupture ou de menace de rupture parentale après que le dernier des enfants de la famille naturelle ait atteint l’âge de treize ans, le juge dit « de la famille » pourra être directement sollicité.

En cas de rupture au sein d’une famille recomposée, les deux parents naturels des enfants vivant dans ce type de foyer devront être reçus par ce service public, ainsi que les enfants eux-mêmes, afin de décider s’il y a lieu, dans leur intérêt, de leur permettre de résider chez le parent jusque-là exclu.

En cas de demande d’enfant, quel que soit son âge, formulée auprès de ce service, il conviendra de l’écouter, le conseiller, et de se mettre éventuellement en rapport avec ses deux parents.

Ce service sera méticuleusement cloisonné des services de justice saisis dans des cas particuliers, et non plus d’emblée.

Les magistrats dits « de la famille » resteront compétents :

-directement pour traiter des litiges entre conjoints sans enfants ou dont le dernier enfant a atteint l’âge de treize ans, pour régler les litiges entre parents commettant des délits familiaux, pour s’occuper des couples homosexuels fragilisés,

-indirectement en cas d’échec d’intervention du service de médiation et d’aide aux deux parents, ou par transfert de dossier de la justice dite « des enfants » vers leur secteur d’activité judiciaire.

Ces magistrats, actuellement particulièrement idéologisés, irresponsables, et coupés des réalités humaines et sociales, devront être encadrés par des représentants de la société civile (« échevinage »).

Ils ne pourront plus, sauf exception, être les responsables de discriminations sociales diverses engendrées par leurs discriminations judiciaires habituelles basées sur l’appartenance sexuelle des parents, abusivement transformés en justiciables.

Le service de médiation et de soutien de la parentalité :

-aidera les parents à se soutenir et à se réconcilier tant que le dernier enfant de la fratrie n’aura pas atteint l’âge de treize ans,

-en cas d’échec, orientera éventuellement les parents vers la justice familiale apurée,

-et pourra aussi, le cas échéant, se mettre en relation avec la justice dite « des enfants » en cas de mise en périls, dans l’intérêt des enfants concernés.

Cet ensemble de mesures sociales, professionnelles, politiques et juridiques permettra d’apaiser et de prévenir un pourcentage réellement considérable de problèmes familiaux et conjugaux. Les cas de ruptures conjugales ne provoqueront plus la paupérisation, les souffrances morales et les déchirements familiaux définitifs que l'actuel principe de discrimination et d’exploitation judiciaire engendre.

Une seule gagnante : la famille. Mais effectivement un seul perdant : le lobby noir, qui fera beaucoup moins d’affaires, mais récupérera cependant une image moins négative auprès de la population.

Un lien intéressant : http://www.cndp.fr/TICE/teledoc/dossiers/dossier_divorce.htm

« En cas de divorce, celui qui gagne, c’est celui qui a la garde de l’argent »

Woody Allen,

qui aurait pu également écrire :

« celui qui gagne, c’est l’avocat, même quand il prétend avoir perdu,

ceux qui perdent, ce sont les enfants, les parents discriminés négativement,

et ce sont même, à terme, les parents discriminés positivement par cette juridiction spéciale d’affaires familiales abusives et normalisées »…

©2006 Assises de Plaintel agencebretagnepresse.com


Au civil comme au pénal, qui parle encore de justice?

Plaintel 17/04/08 06:07 par alphabet du respect des enfants

Dominique Wiel au siège de l'Alphabet
Droits reservés GUILLON.com

Le prêtre ouvrier (à présent retraité) Dominique Wiel nous a fait l'honneur et le plaisir de nous rendre visite du vendredi 11 au lundi 14 avril.

Dominique a été victime de la chasse aux sorcières « pédophiles » que mène la société actuelle, conditionnée par le pouvoir judiciaire. Comme si le crime d'abus sexuels de majeurs contre des enfants, était devenu ici l'ignominie absolue.

Selon lui, objectivement mieux placé que quiconque aura collaboré à ce « massacre à l'ordonnance », le procès d'Outreau relève du procès en sorcellerie digne de l'inquisition de jadis. La magistrature a ramassé les oripeaux de la noblesse d'antan et n'est pas plus responsable aujourd'hui que jadis.

Selon lui, qui est un des martyres de la machine judiciaire pénale, la presse (et avant tout « la Voix du Nord »), les assistantes maternelles, les divers enquêteurs, les expert(e)s agréé(e)s par la machine judiciaire, la police, le ministère public (pas assez examiné), le juge du siège (devenu tristement célèbre), etc. ont collaboré pour boucler une « belle affaire » qui allait valoriser la « justice », telle qu'elle se donne à ce jour quotidiennement en spectacle.

De nombreuses destinées brisées, un mort, des enfants dont le passé familial est détruit : voici selon lui « l'œuvre de justice ». Il note cependant que c'est en partie grâce à la presse, et toujours « la Voix du Nord », que le soupçon contre le cours de l'inquisition judiciaire devint le facteur déclenchant pour qu'éclate la vérité.

Selon nous, qui avons suivi et tenté de soulager les souffrances de milliers de parents confrontés à la même justice, à la même police ou gendarmerie, aux mêmes experts agréés (si tristes de n'être pas mieux payés que les professionnels de la « wassingue*»), aux mêmes juges formatés, soutenus par tant de députés, sénateurs, chefs d'état antérieurement juristes, aux mêmes expertes sociales agréées, le doute n'est plus permis : ce symptôme pénal n'est qu'un signe de la terrible maladie judiciaire qui frappe avant tout l'appareil judiciaire civil, et avant tout la « justice » familiale, première source de revenus des cabinets d'avocats ultra-libéraux et irresponsables, et qui entendent bien garder le monopole de la famille transfigurée en mine de conflits à exploiter et vivifier.

Dominique Wiel ne comprend pas pourquoi des propos objectivement mensongers tenus par l'accusatrice, et connus comme tels par le juge saisi de l'affaire, n'ont pas permis de faire bénéficier à tous ces accusés de la présomption d'innocence au pénal.

De même, nous ne comprenons pas que des milliers d'expertises, des millions de jugements, tout aussi ineptes, irrationnels, tendancieux, malhonnêtes, connus comme tels par les intervenants judiciaires familiaux, aient permis de normaliser la vie post-familiale d'enfants et de parents tel que l'exige le chiffre d'affaire des cabinets d'avocats border-line dans une société hyper-féministe.

Sauf, bien sûr, si nous nous demandons à qui profite le crime.

Outreau, procès pénal, a tué, détruit, meurtri. Chaque jour des hommes, victimes de procès civils, se suicident, abandonnent, s'excluent. Chaque jour des enfants souffrent de perdre leurs racines réelles, et d'être conditionnés par l'ordre néo-familialiste imposé dans nos tribunaux jugeant illégalement à bras raccourcis.

Au civil comme au pénal, au-delà des millions de belles affaires engrangées pour ces nouveaux privilégiés ayant ramassé les oripeaux de la noblesse de jadis, qui ose encore parler de « justice » ?

* - la wassingue est la serpillère, dans le nord de la France. (Note ABP).

Pascal Dazin, président de l'Alphabet du Respect des Enfants.16 avril 2008


11 mai 2007 par rpplbis
Pascal Dazin a écrit Les séparations parentales, l’impasse judiciaire, propositions sociales et juridiques et va faire paraître Justice familiale,de l’impasse à l’imposture.
Il dit bien que son cas est ordinaire, qu’il a des centaines ...
autopsie d'une famille - http://rpplbis.blog.lemonde.fr/

2 mar 2008
LES MAINS SALES par le docteur Pascal Dazin. LES MAINS SALES. Il fallut longtemps pour comprendre l’origine de l’une des plus tragiques des maladies nosocomiales : la fièvre puerpérale, cette septicémie des accouchées. ...
le blog injustice.over-blog.org par : christian - http://injustice.over-blog.org.over-blog.com/
[
Destructions familiales par les dysfonctionnements judiciaires
14 août 2008 par Will
d’après « l’imposture judiciaire » de pascal dazin – médecin social - présentation et résumé par le collectif la vie de pères et sos papa bw - bruxelles wallonie
http://laviedeperes.over-blog.com/ laviedeperes@....
Le blog de la Vie des Pères

le blog injustice.over-blog ...
13 nov 2008
pascal dazin · repare · jean luc kerouanton · alain guillou · resiste. Album photos. l'essence de ma vie · l'essence de ma vie. mes enfants. Newsletter.
le blog injustice.over-blog.org par : christian - http://injustice.over-blog.org.over-blog.com/

UN ENFANT MASSACRE A DOUAI AU DOMICILE MATERNEL-
le blog justice ...
2 nov 2008
Docteur Pascal Dazin, Président de " l’Alphabet du Respect des Enfants " 30 octobre 2008. par JUSTICE PARITE PARENTALE Normandie publié dans : Collectif Justice ·
Normandie - http://justice.pa-pa.normandie.over-blog.com/

17 oct 2008
... Bénévoles – Promotion du Rapport « L’Impasse Judiciaire » sur « Les Séparations Parentales » – Propositions Sociales et Juridiques - Pascal DAZIN – Médecin Social – 187 pages – N° ISBN : 2-913555-18-7 – Liv’éditions Le Faouët – 15 ...
Le blog de la Vie des Pères -

11 mai 2008
qu’on ose donc me traduire en cour d’assises et que l’enquête ait lieu au grand jour. j’attends». emile zola, lettre datée de 1896 au président de la république félix faure. cité par pascal dazin, l'imposture judiciaire, inedit.
bondyblog (commentaires) - http://20minutes.bondyblog.fr/

6 mai 2008 par philippe.bilger
En quoi le fait d'ignorer l'affaire de Pascal Dazin devrait me contraindre à ne pas réagir à un commentaire qui m'apparaît infondé et injuste quant aux griefs adressés à Philippe Bilger ? C'est vrai que j'ignore tout ou presque tout du ...
Justice au singulier - http://www.philippebilger.com/blog/

4 fév 2008
2 CD de Mr MOI pour parrainer les associations Père jetable - de Jean Marc Wencker Les séparations parentales - L'impasse judiciaire - de Pascal Dazin.
Blog Forum Faq Parents Enfants Médiation -

27 jan 2008 par Jean Lallouet
No comment sur un tel sujet...je crois bien devoir aussi quitter prochainement ce blog à l'intar de Pascal DAZIN s'il devient du journalisme de connivence avec le pouvoir à la PERNAUT, PPDA, CHAZAL ou ELKABBACH...pour endormir le ...
Le blog de la rédaction - http://blog.ouest-france.fr/index.php/

24 jan 2008 par jlt
... Vice-Président du Front National ; Mouloud Aounit, Président du Mouvement contre le Racisme ; Anne Souyris, porte-parole nationale des Verts ; Pascal Dazin, médecin et Président de l’Alphabet du Respect des Enfants. ...
jlt-j-ltouchot -

8 oct 2007 par NordineNabili
C’est Pascal Dazin qui me rappelle que je suis un papa pillé, que j’avais des enfants et qu’ils sont devenus ceux du conjoint du maire de Lattes*. Ca ne s’oublie pas. La gauche caviar qui s’émeut pour les sans papiers, on ne l’entend ...
BondyBlog (commentaires) -

Présentation de la médiation familiale conventionnelle - Le blog ... 26 sep 2007
Par Pascal Dazin. http://system.logic.free.fr/Ligue/. Nous annonçons la création d'un nouveau support pour les partisans et justiciables du développement durable. Nous sommes promotteurs d'un développement de la médiation familiale ...
Le blog de mediation.familiale - http://blog.ifrance.com/mediation.familiale

Collectif REPARE
Ligue des justiciables du developpement durable